En 1974, le musée du Palais Fesch d’Ajaccio hérite d’une collection de livres, d’objets et de caricatures Napoléoniens.
Dans cette 1e partie de Napoléon l’Indiavulitu, ses ennemis l’ont diabolisé pour en faire une véritable incarnation du mal, capable de détruire la religion et les monarchies. Ces dessins saisissants émanent entre autres, de l’Espagne catholique (qui voit dans sa naissance l’oeuvre de Satan) ou d’Allemagne, où l’on voit Napoléon tiré en enfer par le Diable qui aimerait bien venir en Corse.
Toutes ces caricatures visent à influencer les peuples d’Europe et à faire alliance entre les monarchies (Russie, Prusse, Autriche et Suisse) pour condamner la Révolution Française qui déstabilise leurs états et a permis l’accession de Napoléon au pouvoir.